Depuis Aristote la science portant sur la combustion a quelque peu évolué sans que l’on ne puisse être certain qu’elle ne conserve encore des éléments forts de méconnaissance.
Tous eurent la même conviction que les quatre éléments étaient la réalité puis que le phlogistique étaient enfin la découverte scientifique de la combustion.
Aujourd’hui rien de nous affirme que nos connaissances soient abouties. Qu’est en mesure de nous promettre la sérendipité ?
Connaître demain impose déjà, semble-t-il de maitriser hier et aujourd’hui.
Le petit ouvrage suivant “Dissertation sur la Théorie de la Combustion” présentée au Concours pour la Chaire de chimie dans l’Académie de Lausanne, le 20 juin 1827, est d’un fort intérêt.
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